Bonjour à tous. Beaucoup de choses se sont passées au niveau nation- al depuis ma dernière mise à jour. Je vais donc faire le point sur deux éléments de notre plan stratégique, ainsi que sur d’autres sujets qui, je l’espère, vous intéresseront.
Élément du plan stratégique (2 sur 17)
Développer, démarrer et soutenir le réseautage et les plateformes communautaires du pickleball pour les enfants et les jeunes, ainsi que les autres populations sous-représentées.
De façon dynamique, PCO implique les représentants de clubs à travers le Canada afin de regrouper les meilleures pratiques pour tout ce qui concerne les clubs : de la mise en marche d’un club, aux services bancaires, à la gestion des programmes. Pat Morrision dirige ce segment. Le niveau d’un club et la pratique libre sont la base de notre organisation et représentent ce que la plupart de nos membres apprécient de ce sport.
Le volet jeunesse fait également partie de cette initiative et, en termes simples, il représente l’avenir de notre sport. Je suis fier d’annoncer qu’Elaine Roy assume désormais le rôle de coordonnatrice nationale, division jeunesse et qu’elle élaborera et mettra en œuvre des stratégies visant à accroître le segment jeunesse de notre population. Je suis très impressionné par les stratégies qu’elle a développées avec la Fédération québécoise de pickleball pour son dossier jeunesse.
Démarrer, améliorer et soutenir le système national.
Le système national de Pickleball Canada (SNPC) est en place et fonctionne avec un déploiement systématique à travers le Canada. Le SNPC comprend la gestion du contenu (site Web), la gestion des membres et bientôt la gestion des évènements ainsi que d’autres fonctions. Toutes les organisations provinciales et territoriales sont sur le SNPC, à l’exception de l’Alberta (prévue pour le 1er juin 2021) et du Québec (prévue pour l’été 2021). Le comité, composé de représentants de chaque province et du Yukon et dirigé par Kirk Jensen, a fait un travail phénoménal pour déployer le SNPC. Selon Kirk, l’un des effets favorables est le renforcement du dialogue entre tous les niveaux, des individus aux clubs, en passant par les provinces et les territoires, jusqu’au niveau national, ce qui est très encourageant.
Entente avec Pickleball Brackets
PCO et Pickleball Brackets viennent de conclure une entente pour une diminution des prix sur leur logiciel de tournoi, les outils de classement de ligue, et le moteur d’évaluation (pour le niveau du club et le jeu compétitif). La philosophie générale de PCO est de s’éloigner de l’auto-évaluation et des évaluations subjectives pour se tourner vers des évaluations basées sur la performance. Les évaluations basées sur les résultats éliminent tout jugement humain de l’équation et réduisent ainsi les litiges concernant les niveaux de compétence puisque les résultats parlent d’eux-mêmes.
De plus, PCO mettra en place le système d’évaluation national officiel basé sur la compétition au sein de Pickleball Brackets, appelé Canadian Tournament Player Rating (CTPR). Le CTPR sera utilisé pour tous les tournois sanctionnés par PCO, pour placer et classer les joueurs, et les résultats des parties et des matchs affecteront alors le rang du CTPR. Nous avons évalué un bon nombre de sociétés de classement et nous avons estimé que Pickleball Brackets répondait le mieux à nos besoins.
Tourisme sportif
De plus en plus de villes et de municipalités se rendent compte que le tourisme sportif peut donner un grand coup de pouce à leur économie locale, et ces entités se rendent également compte de la croissance de la popularité du pickleball. J’en ai eu la preuve en participant à un récent évènement de speed-dating sur le Web de Tourisme sportif canadien, où les 15 créneaux de rendez-vous qui m’étaient alloués se sont remplis très rapidement. Il suffit de dire qu’il y a au moins 15 villes à travers le Canada qui sont vivement intéressées à accueillir un tournoi majeur de pickleball, qu’il s’agisse de championnats nationaux, régionaux, provinciaux/terri- toriaux ou autres. J’ai mentionné que l’une des plus grandes contraintes à notre croissance est le manque d’installations, et beaucoup ont indiqué leurs intentions d’ajouter des terrains, ce qui est une excellente nouvelle. En plus des avantages sociaux et physiques de notre sport, les entreprises et les communautés réalisent que notre sport a également des retombées économiques.
Note personnelle
Au cours des cinq dernières années, j’ai occupé des postes administratifs pour soutenir notre sport et j\'y ai consacré une grande partie de mon temps. Je pense que le moment est venu de passer à autre chose et de consacrer plus de temps à ma famille, mes amis, mes passetemps et, bien sûr... de jouer au pickleball plutôt que d\'en parler. Ainsi, je terminerai mon mandat de président lors de l\'AGA de mai 2021. J\'espère avoir le plaisir de vous rencontrer sur les terrains.
Jim Parrott Ex-Président
AGA de Pickleball Canada le 19 mai 2021
Merci aux plus de 75 personnes qui ont assisté à l\'AGA de Pickleball Canada le 19 mai 2021. Nous continuons à partager et à apprendre alors que nous développons le pickleball au Canada.
Félicitations à notre nouveau conseil d\'administration pour 2021-2022.
Kirk Jensen ~ Président Karen Rust ~ VP Opérations et Trésorière Tony Casey ~ VP Développement Karen Wallace ~ Secrétaire
Directeurs et directrices élus-élues par les membres du BCP : Dave Best Cara Button Robert Hogue Bryna Kopelow Bill MacGregor Jim Parrott Élaine Roy Rose Sawatzky Ted Sherback
Représentants et représentantes régionaux : France Emery Deanna Hanes Pat Morrison
Pickleball Canada souhaite la bienvenue à Carla Anderson
Pickleball Canada a le plaisir d\'annoncer la nomination de Carla Anderson au poste de directrice générale.
Carla compte plus de 31 ans d’expérience à titre de cadre supérieur au sein de l’organisation de pickleball. Elle a été directrice des Jeux pour le Comité olympique canadien, directrice générale de Taekwondo Canada et coordonnatrice de projets spéciaux pour le Centre de ressources en information sportive (SIRC).
Carla sera en charge de la mise en œuvre des objectifs spécifiques du plan stratégique, assurera quotidiennement un fonctionnement efficace et productif des opérations de PCO, et sera la personne ressource en lien avec Sport Canada afin de comprendre les exigences en matière de financement et d’y répondre, en plus de se concentrer sur le volet communication et la génération de revenus.
La passion de Carla pour le développement du sport et sa capacité à faire bouger les choses seront essentielles pour que le pickleball devienne un sport pour tous, pour la vie.
Nous sommes ravis d\'accueillir Carla Anderson au sein de l\'équipe de la direction nationale de Pickleball Canada.
Le pickleball devient le centre d’intérêts alors que le Centre RA aménage un centre spécialisé et accueille Pickleball Canada dans la Maison du sport.
(Ottawa, ON) le 18 mai 2021 - Le Centre RA d’Ottawa (Recreation Association of the Public Service of Canada - RA) est heureux d\'annoncer l\'aménagement d\'un centre de pickleball sur le campus principal de Riverside Drive, en réaménageant 13 500 pieds carrés pour en faire un centre réservé uniquement au pickleball avec sept terrains. Ce projet novateur, soutenu par la subvention pour les communautés résilientes de la Fondation Trillium de l’Ontario, contribuera au rétablissement à long terme du Centre RA en aidant à rehausser les capacités et renforcir la résilience à la suite au contrecoup de la COVID-19.
À partir de l\'automne 2021, le Centre RA offrira un large éventail de programmes soutenant l\'ensemble des participants au modèle de développement à long terme des joueurs de Pickleball Canada. « Notre nouveau centre de pickleball profitera de l\'enthousiasme et de la demande croissante pour ce sport à Ottawa et dans tout le pays », explique Tosha Rhodenizer, directrice générale du Centre RA. « Le pickleball est un sport qui peut être pratiqué par une grande variété d\'âges, d’habiletés et de niveaux de compétence. » De plus, ce lieu unique pourra accueillir une variété d\'évènements locaux, provinciaux, nationaux et internationaux et créera le « point central » en matière de tournoi. Au fur et à mesure que les rénovations progresseront, le Centre RA offrira aux membres de la communauté la possibilité de se joindre au nouveau club. Veuillez consulter le site www.racentre.com/pickleball pour plus d\'informations.
L\'ajout de Pickleball Canada à la Maison du sport renforcera la croissance du Centre RA dans le domaine du pickleball. Le Centre RA est ravi d\'accueillir Pickleball Canada au sein de la dynamique communauté de la Maison du sport située au Centre RA à Ottawa. Ce partenariat contribuera non seulement à la croissance du sport au niveau local et national, mais aussi au développement de cette nouvelle installation unique. « Pickleball Canada est ravi d\'avoir maintenant une relation de confiance avec le Centre RA et la Maison du sport », partage Tony Casey, vice-président des opérations et de l\'administration de Pickleball Canada.
En 2017, le Centre RA a réaménagé 37 000 pieds carrés d\'espace pour créer un environnement de bureau ouvert, innovateur et créatif appelé la Maison du sport. La Maison du sport rassemble une collection diversifiée d\'organismes sportifs, dont la majorité sont des organismes nationaux de sport (ONS) et des organismes multisports (OMS), sous un même toit pour partager une installation où leurs besoins individuels sont pris en compte, mais aussi où leur regroupement peut donner lieu à une énergie et un soutien positifs. Carla Anderson, récemment nommée directrice générale de Pickleball Canada, déclare : « J\'ai hâte de renouer les liens, d\'apprendre et de partager avec la solide communauté d\'organismes sportifs de la Maison du sport. Faire partie d\'un environnement diversifié, dynamique et collaboratif sera précieux pour moi et apportera des avantages importants à la communauté nationale de pickleball. Ça va être génial ; c\'est une période passionnante ! » La Maison du sport encourage les OSN et les OSM à tirer parti de leurs expériences communes pour offrir une qualité accrue dans le sport et de meilleures performances au niveau national et international.
« Le regroupement d\'organismes aux vues similaires offre des possibilités de partage des connaissances, fournit une masse importante pour tirer parti de l\'efficacité opérationnelle et créer une flexibilité pour que les employés puissent se rencontrer, collaborer et se soutenir mutuellement « , ajoute Rhodenizer. « En créant un environnement partagé, la Maison du sport s\'efforce de réduire les coûts et de créer un centre administratif d\'excellence qui est accessible et bénéfique à toutes les organisations, quelle que soit leur taille. »
La Maison du sport, un centre sportif de purement canadien, offre une communauté à concept ouvert complétée par une large gamme de services et de salles de réunion. D\'autres services complémentaires comprennent des déjeuners-conférences et des ateliers thématiques, ainsi que la mise en place d\'une table de concertation de PDG pour les dirigeants d\'organisations en vue d’un apprentissage mutuel et d’une vision partagée. Tout cela s\'ajoute à la possibilité de collaborer avec des organisations similaires et d\'accéder à des opportunités de santé et de bien-être pour les membres du personnel. La Maison du sport est une communauté de soutien et de pratique à Ottawa qui n\'existe nulle part ailleurs au Canada.
« Se joindre à la Maison du sport contribuera grandement à la croissance et au développement du pickleball. De plus, nous croyons que nous pouvons contribuer au renforcement de l\'ensemble du système en aidant à développer le sport canadien comme étant accueillant, inclusif, accessible et sécuritaire. Nous sommes enthousiastes et prêts à soutenir les occasion de planification qui seront offertes par le nouveau Centre de pickleball RA », dit Casey.
Parlons avec Deakin
Steve Deakin, joueur professionnel multi-médaillé et ambassadeur de PCO en 2020, a concouru avec succès contre les meilleurs joueurs de pickleball et s’est valu le titre de meilleur joueur masculin de pickleball au Canada. « Parlons avec Deakin » vous invite à soumettre vos questions à communications@pickleballcanada.org. Steve attend de vos nouvelles !
La plupart d’entre vous savent que lorsque le virus du COVID a fait son apparition, comme la plupart des canadiens j’étais abattu mais j’ai fait ce que je pensais être le mieux pour ma famille, la mienne étant à risque avec un père qui a combattu deux fois le cancer. Cette pandémie a définitivement mis un frein à ma nouvelle entreprise de pickleball professionnel et d’entraînement, dont je ne voyais pas la fin. À cet effet, j’avais un calendrier rempli à craquer de cliniques sportives que je devais donner à travers le Canada et qui coïncidaient avec mon calendrier de tournois. J’étais vraiment enthousiaste à l’idée de contribuer à la croissance de ce merveilleux sport dans mon pays.
Le problème pour moi est apparu lorsque j’ai vu que les États-Unis con- tinuaient à faire comme si de rien n’était. Tous mes pairs athlètes profes- sionnels continuaient à participer à des tournois d’un État à l’autre, alors que tout avait été annulé au Canada. J’avais remboursé tout l’argent de mes cliniques sportives, mais je me sentais laissé pour compte sur le cir- cuit. Étant donné mon âge, je n’ai pas de temps à perdre à attendre que la nature suive son cours et que le monde s’ouvre à nouveau. Les gens qui m’entouraient me parlaient de perspectives sombres et, comme la plupart des gens, j’ai une hypothèque à payer. Mes commandites ne sont pas payées si je ne joue pas, alors compter sur le gouvernement cana- dien était acceptable pour les deux premiers mois, mais j’avais besoin de retourner à ce que je fais de mieux.
J’ai donc pris la décision de me rendre aux États-Unis et de reprendre le flambeau en septembre dernier. Cela m’a permis de payer les factures et de rester dans le coup avec mes pairs. Problème résolu ? Pas du tout. Alors que l’Amérique se relâchait... le Canada de son côté se resserrait et je n’avais pas réussi à obtenir un visa de travail. C’était assez difficile. Le retour au pays est devenu problématique car la période de quarantaine de 14 jours interférait avec mon calendrier de tournois et le gouvernement ne considérait pas mon travail comme essentiel, bien qu’il était essentiel pour moi et ma famille, mais non selon les normes de la pandémie... dans tous les cas, pas tant que ça. Je ne pouvais donc plus enseigner ni participer à des compétitions au Canada et il devenait de plus en plus difficile de rent- rer à la maison. Pour compliquer encore les choses, un séjour obligatoire de trois jours à l’hôtel s’est ajouté à tout cela, ce qui représentait un autre coût supplémentaire non prévu.
Cette pandémie a touché tout le monde et de manières très différentes. Malheureusement, beaucoup ont perdu des êtres chers à cause de ce virus. Je suis reconnaissant d’être canadien et je suis fier de la façon dont notre gouvernement a géré la plupart des aspects de cette pandémie ex- trêmement difficile et sans précédent. Les décisions gouvernementales ont certainement permis de réduire le nombre de décès par rapport aux États- Unis et nous devrions tous en être reconnaissants. C’est par pure chance ou malchance que ma carrière est principalement liée aux États-Unis. J’ai dû faire preuve d’une grande prudence pour continuer à gagner ma vie correctement : j’ai été exposé à la COVID à plusieurs reprises, mais j’ai réussi à éviter le virus et je me sens incroyablement chanceux. J’ai passé beaucoup trop de temps en quarantaine au cours de l’année écoulée, mais dans l’ensemble, je me suis rendu compte que je suis plutôt doué au Crib et au Gin Rummy.
Le coin de L’arbitre Connaissez-vous bien le règlement et les changements aux règles de 2021? - Alan Thomson, PCO/USAP, Certified Referee
De nombreux articles, vidéos et sessions virtuelles ont été consacrés aux nouvelles règles. Que vous soyez joueur ou arbitre, vous devriez pouvoir répondre assez facilement aux questions qui suivent. Si ce n’est pas le cas, peut-être avez-vous encore une peu de lecture à faire !
Il va de soi que les arbitres doivent avoir une excellente connaissance de l’ensemble des règles. Les joueurs, quant à eux, devraient au moins très bien connaître les règles de base. J’ai moi-même été maintes fois témoin de défaites causées par une mauvaise compréhension des règles ou par un manque de connaissance de celles-ci.
Vrai ou faux - Le serveur peut commencer son mouvement du service pendant que l’arbitre annonce le pointage.
Jusqu’à quel moment un joueur peut-il demander un temps d’arrêt sans encourir de pénalité ?
a) Avant le début de l’annonce du pointage.
b) Avant la fin de l’annonce du pointage.
c) Avant que le serveur frappe la balle pour exécuter son service.
d) Après la fin de l’annonce du pointage.
Vrai ou faux - Lorsqu’il y a un changement de côté après un échange, le serveur de départ (joueur avec le bracelet d’identification) de l’équi- pe qui sera au service servira toujours en premier.
Vrai ou faux - Faire les appels de ligne est une partie importante du travail des arbitres, ils doivent donc toujours suivre le vol de la balle afin de pouvoir faire l’appel lorsqu’on leur demande.
Vrai ou faux - C’est une faute contre le receveur si son pied touche la ligne de fond au moment où il retourne la balle de service.
Vrai ou faux - C’est une faute si le serveur exécute son service avant que l’arbitre commence l’annonce du pointage.
À partir de 2021, si un juge de ligne ou un arbitre voit clairement que la balle est tout juste à l’extérieur du terrain, c’est-à-dire qu’elle ne touche pas la ligne mais la surplombe, elle sera considérée IN.
L’arbitre annonce le pointage et votre partenaire exécute son service. Pendant que la balle du retour de service se dirige vers vous, vous réalisez que l’arbitre a annoncé le mauvais pointage. Alors que vous vous élancez et frappez la balle dans le filet, vous criez : “Vous avez annoncé le mauvais pointage !”. L’arbitre annonce alors “Faute”, mais vous affirmez que le pointage annoncé était incorrect et que l’échange doit être repris. Qui a raison, l’arbitre ou vous (le joueur) ?
Vrai ou faux - Si vous posez un geste qui justifie que l’arbitre vous impose une faute technique, un point sera soustrait de votre pointage en autant qu’il ne soit pas à zéro.
Vrai ou faux - Le serveur peut avoir la balle dans la main qui ne tient pas la raquette et déplacer cette main vers le haut tout en lâchant la balle, puis laisser la balle rebondir au sol avant de la frapper pour servir.
RÉPONSES :
Vrai ou Faux - Le serveur peut commencer son mouvement du service pendant que l’arbitre annonce le pointage. (En autant que le contact avec la balle est fait après la fin de l’annonce du pointage.)
Jusqu’à quel moment un joueur peut-il demander un temps d’arrêt sans encourir de pénalité ?
a) Avant le début de l’annonce du pointage.
b) Avant la fin de l’annonce du pointage.
c) Avant que le serveur frappe la balle pour exécuter son service.
d) Après la fin de l’annonce du pointage. (L’arbitre doit regarder le serveur, mais aussi avoir l’oreille tendue afin d’entendre si un joueur pose une question ou demande un temps d’ar- rêt. NB : Une fois que l’arbitre a commencé à annoncer le pointage, tout signal “pas prêt” doit être ignoré.)
Vrai ou Faux - Lorsqu’il y a un changement de côté après un échange, le serveur de départ (joueur avec le bracelet d’identification) de l’équipe qui sera au service servira toujours en premier (Après un changement de côté, le premier serveur est déterminé en fonction du pointage de l’équipe au service, pair ou impair.)
Vrai ou Faux – Faire les appels de ligne est une partie importante du travail des arbitres, ils doivent donc toujours suivre le vol de la balle afin de pouvoir faire l’appel lorsqu’on leur demande. (Les arbitres apprennent à surveiller la zone de non-volée (ZNV) pour détecter les fautes de pied ou autres violations et à ne pas suivre le vol de la bal- le, tout spécialement lorsque la balle est frappée à la volée.)
Vrai ou Faux – C’est une faute contre le receveur si son pied touche la ligne de fond au moment où il retourne la balle de service. (Le receveur peut se tenir où il veut lorsqu’il retourne le service, il n’y a aucune restriction à condition que ce soit le bon receveur qui la re- tourne et qu’elle ait fait un rebond.)
Vrai ou Faux – C’est une faute si le serveur exécute son service avant que l’arbitre commence l’annonce du pointage. (Une faute ne peut pas être commise lorsque la balle est morte. La balle n’est en jeu qu’au moment où l’arbitre commence l’annonce du pointage.
Vrai ou Faux - À partir de 2021, si un juge de ligne ou un arbitre voit clairement que la balle est tout juste à l’extérieur du terrain, c’est- à-dire qu’elle ne touche pas la ligne mais la surplombe, elle sera considérée IN. (Les juges de ligne et les arbitres sont impartiaux et doivent faire les appels de ligne comme ils les voient. Une balle qui ne touche pas la ligne est OUT. Une balle qui est proche de la ligne et qui ne peut pas être déclarée avec certitude comme étant OUT, doit être considérée IN. Lors d’un match sans juges de ligne, les joueurs sont responsables des appels de ligne et ils doivent accorder à leur adver- saire le bénéfice du doute sur toutes les balles qui sont proches de la ligne ou celles qui soulèvent un doute. Si vous ne voyez pas d’espace entre la balle et la ligne, considérez-la IN et continuez l’échange.)
L’arbitre annonce le pointage et votre partenaire exécute son service. Pendant que la balle du retour de service se dirige vers vous, vous réalisez que l’arbitre a annoncé le mauvais pointage. Alors que vous vous élancez et frappez la balle dans le filet, vous criez : “Vous avez annoncé le mauvais pointage !”. L’arbitre annonce alors “Faute”, mais vous affirmez que le pointage annoncé était incorrect et que l’échange doit être repris. Qui a raison l’arbitre ou vous (le joueur) ? (Lorsqu’il y a une erreur dans l’annonce du pointage, les joueurs ont jusqu’au troisième coup (moment où la raquette frappe la balle) pour contest- er le pointage annoncé. Si le pointage était effectivement incorrect, l’échange est repris. C’est une faute s’il n’y avait pas d’erreur ou si vous avez arrêté le jeu après le troisième coup même s’il y avait une erreur.)
Vrai ou Faux - Si vous posez un geste qui justifie que l’arbitre vous impose une faute technique, un point sera soustrait de votre pointage en autant qu’il ne soit pas à zéro. (Il incombe alors à l’équipe fautive de se repositionner en fonction de son nouveau pointage.)
Vrai ou Faux – Le serveur peut avoir la balle dans la main qui ne tient pas la raquette et déplacer cette main vers le haut tout en lâchant la balle, puis laisser la balle rebondir au sol avant de la frapper pour ser- vir. (Lors du service avec rebond, la balle ne peut subir aucune impul- sion (énergie). La balle se déplace toujours vers le haut lorsqu’elle est relâchée pendant que le bras est en mouvement. NB : C’est l’erreur la plus fréquente que j’ai vue chez les joueurs qui utilisent ce type de service. Immobilisez votre main qui tient la balle avant de laisser tomber la balle et laissez la gravité faire son travail.)
Wayne’s World
Je ne suis pas digne ! Je ne suis pas digne ! Cependant, je ferai de mon mieux pour fournir un contenu intéressant et éducatif. J’aimerais remercier toutes les personnes de l’édition du « Scoop » et en particulier Linda Jefferies pour cette occasion extraordinaire de partager mes points de vue avec nos lecteurs.
Le pickleball - un jeu amusant et stimulant, avec une touche de magie ! - Le point de vue de Wayne Kerr
Les débutants peuvent souvent apprendre les principes de base du pickleball et disputer des matchs en moins d’une heure, tandis que les enthousiastes de tous niveaux ne cessent de s’améliorer. Pour moi, la beauté du pickleball réside dans l’originalité de ce jeu. Combien de fois voit-on un débutant ou un expert faire deux ou trois coups incroyables pour ensuite rater le plus simple ? Le nombre de sourires et de rires est assez élevé lorsqu’on joue au pickleball et ce, à tous les niveaux.
Lorsque vous vous présentez sur les terrains pour la première fois, on vous demandera inévitablement : « Quel est votre niveau ? ». Si vous êtes nouveau dans ce sport, dites-le tout simplement. Si vous jouez depuis un certain temps, mais pas dans un club ou dans des tournois, vous ne connaissez peut-être pas votre niveau de compétence. Ce qui suit est un guide des niveaux et la manière d’atteindre le niveau suivant. Les niveaux vont de 1.0 à 5.0. Un joueur de niveau 1.0 a des difficultés à contrôler la balle, tandis qu’un joueur de niveau 5.0 a un niveau d’exper- tise que la plupart n’atteindront jamais.
Un joueur de niveau 1.0 est nouveau dans le sport. Ces débutants ap- prennent les règles, comment frapper la balle et peuvent avoir du mal à la garder en jeu. Il faut généralement peu de temps à ces joueurs pour passer au niveau 2.0.
Les joueurs de niveau 2.0 connaissent la plupart des règles de base et peuvent garder la balle en jeu, mais ils n’utilisent que peu ou pas de stratégie, si ce n’est celle de renvoyer la balle au-dessus du filet aussi souvent que possible. Lorsque leur compréhension de la stratégie et du contrôle de la balle s’améliore, ces joueurs passent au niveau 2.5.
La différence entre le niveau 2.5 et le niveau 3.0 est principalement le placement et la puissance. Les compétences en matière de coups retenus (dinking) se sont améliorées. Le joueur de niveau 3.0 a tendance à frapper des services et des retours profonds. Il comprend également l’avantage d’être à la ligne de la zone de non volée (ZNV) et peut frapper des coups en retrait lorsque l’occasion se présente. Les joueurs qui viennent au pickleball avec une expérience antérieure des sports de raquette atteindront souvent ce niveau en une heure ou deux de jeu.
Le passage de 3.0 à 3.5 s’accompagne d’un meilleur contrôle de la balle et de l’ajout de rotations. Un joueur de niveau 3.5 sert et renvoie très bien la balle. Ils ont appris que frapper la balle avec force n’est pas toujours la meilleure chose à faire. L’amorti commence à jouer un rôle plus important dans le jeu, mais pas aussi souvent qu’il le pourrait ou le devrait. Les joueurs de ce niveau ajoutent généralement le 3e coup à leur jeu. La stratégie fait désormais partie du jeu de la plupart des 3.5. Ils exploitent intentionnellement les faiblesses de l’adversaire et ciblent les ouvertures. Avec de l’entraînement et de la détermination, la plupart des joueurs peuvent atteindre ce niveau de jeu.
En général, la différence entre un joueur 3.5 et un joueur 4.0 est la capacité à faire des points et à utiliser délibérément les coups retenus. Les 3.5 et les 4.0 sont tous deux capables de placer la balle et de jouer de manière efficace. Un 3.5 peut passer au niveau 4.0 une fois qu’il a réussi à placer régulièrement des 3ièmes coups inattaquables et à se défendre régulièrement contre les attaques de ses adversaires. L’étape de 3.5 à 4.0 demande de l’entraînement. C’est par la pratique que l’on s’améliore en matière d’attaques au 3e coup et de défense. Une autre façon de s’améliorer est de travailler sur les parties les plus faibles de votre jeu pendant que vous jouez. Est-ce vraiment important de savoir qui gagne une partie récréative ? Essayez d’envoyer le plus de balles dans la ZNV. Améliorez-vous en jouant contre le joueur le plus fort de l’autre côté du filet. Gagner, c’est bien, mais s’améliorer c’est le plus important. Lancez-vous des défis et vous vous améliorerez.
Un bon joueur 4.0 peut exécuter tous les coups. Alors, quelle est la différence entre un 4.0 et un 4.5 ? La réponse est la constance, le placement de la balle et l’anticipation. De plus, un 4.5 est capable de remettre systématiquement l’échange au point neutre lorsque son adversaire a l’avantage. Ils jouent un pickleball intelligent en frappant presque toujours le bon coup au bon moment. Cela ne semble pas très difficile, mais cela demande de la discipline. Le pickleball est un jeu com- pliqué aux niveaux supérieurs. Il se passe beaucoup de choses pendant un échange. Garder la balle en profondeur quand vos adversaires sont en arrière, puis la garder basse et courte quand ils sont près de la zone NVZ. Noter où se trouvent les coups droits et les revers, et quelles sont les raquettes qui sont en haut ou en bas. Prêter attention au positionnement de l’adversaire sur le terrain tout en sachant où se trouve votre parte- naire. Surveiller les ouvertures tout en protégeant les zones vulnérables de son propre côté du filet. Connaître les habitudes de l’adversaire, tout en restant attentif aux changements inattendus. En plus de se tenir prêt à attaquer ou à contrer la prochaine balle. Tout cela et plus encore.
Si un 4.5 peut presque tout faire, qu’est-ce qui caractérise un joueur 5.0 ? Un très haut niveau de compétence, évidemment. Ces joueurs possède un jeu complet : puissance, placement, patience et semblent avoir ajouté une petite touche de magie. Ils ont une vue s’ensemble du terrain et semblent instinctivement deviner ce que leurs adversaires vont faire avec n’importe quel placement de balle. J’ai ajouté la magie à cela car les atouts physiques tels que les longs membres, les jeux de pied ou la rapidité des mains sont des atouts indéniables, mais tous les 5.0 ne les possèdent pas. En fait, certains joueurs 5.0 n’ont aucun de ces atouts. Petit, grand, athlétique ou non, tout le monde peut jouer et même maîtriser ce sport original.
Très peu d’entre nous atteindront le niveau 5.0 et c’est bien ainsi car le pickleball est vraiment amusant à tous les niveaux.
Amusez-vous mes amis, au pickleball !
La prochaine génération
Joueurs juniors canadiens
Nous vous présentons Louis-Charles Amyot, 18 ans, originaire de Blainville au Québec, et l’une des étoiles montantes du hockey junior au Canada !
Louis-Charles est parrainé par Selkirk, PB Sport et Tennis 13, et possède une expérience sportive en hockey, tennis et basketball.
Louis-Charles a découvert le pickleball à l’âge de 14 ans et a participé à son premier tournoi peu de temps après, un tournoi ambitieux de niveau 4.0 qu’il a remporté. C’est à ce moment-là qu’il s’est rendu compte que ce sport suscitait à la fois son intérêt et ses capacités. Il a donc participé à de plus en plus de tournois au Québec, puis s’est rendu en Ontario afin d’accroître son niveau de jeu.
Louis-Charles est surtout fier d’avoir remporté la médaille d’or aux Championnats du monde de Pickleball en 2019, où il a participé à l’Open 5.0 en simple à l’âge de 16 ans.
Joignez-vous à PCO pour souhaiter à Louis-Charles la meilleure des chances dans sa carrière montante – pour nous, c’est déjà un gagnant !
Initier les jeunes au pickleball
en utilisant le programme de formation IPTPA par Sheila Senger Yukon Pickleball Association
Lorsque j’ai terminé l’atelier « Teach the Teacher » de l’IPTPA (International Pickleball Teaching Professional Association) avec Brooke Siver le 1er février 2020 à Whitehorse au Yukon, j’ai décidé de tester mon expérience de formation sur les jeunes et j’ai contacté l’une de nos écoles secondaires locales.
Nous avons donc organisé quatre cours hebdomadaires en février, plus deux classes de 10e année une à la suite de l’autre. J’ai demandé à une collègue, Chris McKay, qui avait également suivi l’atelier « Train the Teacher » de l’IPTPA, si elle souhaitait m’aider à former les élèves. Nous avons alors convaincu nos maris joueurs de pickleball de nous accompagner et de nous aider. Ils étaient les ramasseurs de balles!
Premier cours : Nous avons apporté quatre filets de pickleball car l’école n’avait que des filets de badminton qu’elle abaissait pour le pickleball. Nous avons également apporté des raquettes et des balles supplémentaires. L’école utilisait de petites raquettes en bois et des balles extérieures.
Nous avons commencé notre premier cours par un échauffement dirigé par le professeur d’éducation physique, puis nous avons aligné les élèves pour des exercices avec les yeux et les mains, les règles de base, les principes fondamentaux, les coups retenus, et nous avons terminé par une « bataille » de 10 minutes d’échange de coups retenus, ce qui s’est avéré un succès chez les élèves. Nous avons dû compter les points pour eux.
Nous avons remarqué que les garçons avaient tendance à rester ensemble, tout comme les filles. J’ai également remarqué que certains d’entre eux avaient une bonne habileté sportive.
Nous avons également bénéficier d’opportunité intéressante lorsque nous avons remarqué qu’une étudiante semblait très timide et peu sure d’elle dans la classe. Elle se tenait à l’écart et semblait hésiter à s’avancer et à jouer avec les autres. Nous avons appris qu’elle était autiste et nous avons donc essayé de l’encourager et de l’aider en lui donnant des leçons particulières tout en l’encourageant lorsqu’elle tentait ses coups et les réussissait. Nous avons également encouragé les autres élèves à jouer avec elle et à être patients.
À la fin du cours, nous avons dit aux élèves qu’ils devaient s’entraîner afin de pouvoir passer au niveau suivant la prochaine semaine. Chris et moi avons convenu que les élèves comprenaient plus vite que nous le pensions et que nous essaierions de leur faire jouer une petite partie la semaine suivante.
Deuxième cours : Le plan que nous avions préparé pour cette journée consistait en une révision rapide des règles, un échauffement avec coups retenus, coup droit dans le fond, coup de revers dans le fond, service et retour. Nous avons fait une démonstration de chaque coup, puis nous avons demandé aux élèves de s’exercer. J’ai vu l’excitation sur les visages des élèves lorsque nous leur avons dit que Chris, moi et nos maris allions faire une démonstration d’une petite partie de deux points. Ils ont applaudi lorsque l’un de nous a marqué un point. Après la démonstration, nous avons tous les quatre pris un groupe de quatre élèves et les avons fait jouer une petite partie de quatre points.
À la fin de la séance, j’ai demandé aux élèves : « Comment s’est passée la journée, avez-vous aimé cela ? » Un garçon en particulier a crié « c’était fantastique ». D’autres ont dit « génial », « incroyable », « super », et tout le monde nous a donné des high-five. Nous avons dit aux élèves que nous allions introduire quelques compétences supplémen- taires la semaine suivante et que nous allions organiser un mini tournoi la quatrième semaine. Alors que je quittais le gymnase, un autre professeur d’éducation physique, qui était en train d’organiser une séance de basketball dans l’autre moitié du gymnase, s’est approché de moi et m’a dit qu’il aurait aimé pouvoir participer à cette activité.
Troisième cours : Les élèves de la première classe sont arrivés à 8 h 30 et ont immédiate- ment pris des raquettes et des balles, et se sont dirigés vers les filets et le mur pour s’échauffer. J’ai été étonnée de leur enthousiasme. Après être passé au travers de tous les acquis de la semaine précédente, nous leur avons dit qu’ils allaient être initiés au troisième coup amorti et au coup frappé à la volée.
Quatrième cours : Je suis allé au Dollar Store et j’ai acheté deux trophées et un tas de médailles de bronze, d’argent et d’or, et j’ai collé une balle de pickleball sur le dessus de chaque trophée pour me préparer au tournoi.
Les élèves sont arrivés tôt à chacun des cours et semblaient ravis de participer à un tournoi. Quelques-unes des équipes ont eu des échanges étonnants. L’excitation montait à la fin de chaque match pour voir qui se classait dans le tableau. Les filles marquaient plus de points que les garçons.
Chaque classe a fini par avoir des demi-finales et se mériter des médailles. Les trophées ont été remis à chacune des classes lors de la partie finale. Malheureusement, nous n’avons pu prendre de photos de groupe car les élèves ont dû se rendre à leur prochain cours. Les enseignants nous ont remis des cadeaux et des cartes de remerciement de la part des élèves.
Le commentaire sur une carte que j’ai adoré était « Merci de nous avoir transformés en dieux du pickleball »
Chris et moi avons convenu que c’était une expérience formidable et que nous la referions tous les deux.
Le point tournant du pickleball
par Dave Harris
De Bonavista à l’île de Vancouver, comme de nombreuses villes, la capitale nationale est un lieu familier dans un « trajet de pickleball ».
Depuis les premiers jours de leur retour, les snowbirds se sont mis à jouer dans leurs entrées de cour ou sur les terrains de tennis publics jusqu’au lancement de l’Ottawa Pickleball Association (« OPA ») où Otta- wa a atteint et même dépassé son point tournant en matière de pickleball.
La plupart des horaires de pickleball dans les centres récréatifs de la ville affichent complet (parfois des heures à l’avance), avec une concurrence féroce pour obtenir une place disponible. L’OPA doit régulièrement limiter le nombre de membres, ainsi que les inscriptions à ses diverses ligues de pickleball, en raison d’une demande supérieure à l’offre disponible. L’OPA a du mal à trouver des lieux appropriés et abordables pour organiser ses ligues. Des lignes temporaires de pickleball sont ajoutées aux terrains de tennis permanents. Bien qu’il s’agisse d’une solution utile à court terme, cela ne fait qu’exacerber le problème sous-jacent, en créant une plus forte demande de pickleball tout en privant les joueurs de tennis voisins de leur temps de jeu, ce qui crée naturellement une friction entre les deux groupes.
Le centre récréatif municipal a été planifié avant que le pickleball « existe » et bien avant que celui-ci ne devienne un phénomène. Comme beaucoup de villes, Ottawa a besoin et mérite un plus grand investissement de fonds dans une infrastructure permanente et dédiée au pickleball, simplement pour répondre à la demande actuelle, sans parler celle à venir !
Au début de 2021, voyant qu’Ottawa était en train de créer son tout premier plan directeur décennal pour les parcs et les centre récréatifs, une coalition de joueurs de pickleball locaux a reconnu qu’elle devait mettre à profit le point tournant en matière de pickleball et s’est mobilisée pour:
Encourager les gens à répondre aux sondages en ligne de la ville pour évaluer et déterminer ce que les résidents souhaitaient comme centres récréatifs futurs;
Faire des recherches sur les infrastructures de pickleball en Ontario (y compris les sources de financement) (merci aux joueurs de toute la province qui ont répondu en donnant des détails sur la façon dont les infrastructures de pickleball étaient devenues une réalité dans leurs communautés);
Sensibiliser les conseillers municipaux et la population en général à ce sport en vogue que nous pratiquons tous (y compris le lancement de panneaux de signalisation sur plusieurs routes principales); et
Présenter aux conseillers municipaux des arguments convaincants sur la nécessité d’un plus grand investissement de fonds dans les infrastructures de pickleball.
Au fond de moi, je sais que le pickleball n’est pas un sport de niche, mais plutôt un sport pour tous, pour la vie : pour les séniors, pour les joueurs compétitifs de sports de raquette, pour les grands-parents, les parents et les petits-enfants qui veulent jouer ensemble en famille. La rapidité avec laquelle les juniors de mon club de tennis local ont adopté le pickleball n’est qu’une des raisons pour lesquelles je suis convaincu que les urbanistes doivent planifier le pickleball au-delà de la génération des retraités actuels.
Bien que nous soyons encore en train de battre le fer pendant qu’il est chaud, nous devons rester motivés et nous mobiliser pour continuer à plaider en faveur de l’espace que mérite le pickleball au sein des centres récréatifs de la capitale nationale.
Marlys Lein a été récompensée pour ses efforts en faveur de la communauté
Il est tout à fait approprié que Marlys Lein, bénévole communautaire de longue date, ait été reconnue sur le terrain de pickleball hier soir, pour ses efforts visant à améliorer la communauté. En plus d’être bénévole pour les services aux victimes, le rodéo et les Alberta 55+ Summer Games, Mme Lein a aidé à créer le Strathmore Pickleball Group à partir de rien et à le faire croître pour atteindre aujourd’hui plus de 100 membres.
Louise Bleier, membre du groupe Strathmore Pickleball Group, a remis à Mme Lein un certificat et une lettre de la députée Leela Sharon Aheer dans le cadre des prix Stars of Alberta Volunteer Awards 2020. Bien que Marlys Lein n’ait pas été l’une des deux finalistes, elle a été mise en nomination pour les prix et reconnue pour son temps et ses efforts au service de cette communauté.
Mme Bleier a déclaré : « Je suis tombée sur les Stars of Alberta Volunteer Awards tout à fait par hasard. Je voulais savoir si la ville de Strathmore avait un prix pour le bénévolat, si l’on pouvait proposer des candidatures, ou s’il existait un protocole à cet effet. »
Elle dit de Marlys Lein : « Elle fait du bénévolat depuis toujours. C’est tout simplement une personne formidable. Elle s’implique également en tant que présidente de la Strathmore Regional Victim Services Society. Il s’agit d’une organisation qui fournit une réponse en temps de crise 24 heures sur 24, aux victimes de crimes et de tragédies. Elle a été une grande bénévole dans notre communauté pour plusieurs raisons pendant de nombreuses années. »
Elle explique que Mme Lein est bénévole à l’accueil du rodéo professionnel de Strathmore, qu’elle s’est portée volontaire lorsque la ville a accueilli les Alberta 55+ Summer Games et que, dans le passé, elle a également fait du bénévolat pour assembler des paniers de Noël et a aussi participer à l’organisation des tournois de golf de bienfais- ance.
Elle est tout simplement ce qu’on appelle une grande « personne de terrain » a-t-elle déclaré.
Mme Bleier a expliqué qu’elle avait remis le certificat et la lettre du ministre Aheer hier soir, alors qu’elles jouaient au pickleball.
« L’une des raisons pour lesquelles j’ai proposé sa candidature est que nous avons créé ce groupe de pickleball à l’automne 2015, après que Strathmore ait accueilli avec succès les Alberta 55+ Summer Games. Nous sommes partis de zéro avec rien », a-t-elle déclaré.
« Nous sommes passés à plus de 100 membres. Cela a pris une quantité incroyable de temps, d’énergie et d’engagement, en adaptant des endroits où jouer, en réservant des instructeurs pour des formations, tout cela parce que les gens voulaient apprendre la bonne technique et le jeu, puis en triant les gens dans des groupes pour que tout le monde soit dans une équipe de jeu ayant des compétences similaires. »
Selon Mme Bleier, Mme Lein est une personne très humble.
« Elle est un exemple pour l’esprit de la communauté. Elle incarne parfaitement cet énoncé. Il est facile de travailler avec elle et si quelqu’un a une question, elle prendra le temps de lui répondre. Elle fait partie de ces bonnes personnes qui sont souvent des héros méconnus dont personne ne parle. » « Elle incarne vraiment l’esprit de la communauté. Les résidents de Strathmore et de la région ont beaucoup de chance de l’avoir parmi eux. »
Les Stars of Alberta Volunteer Awards récompensent les jeunes, les adultes et les personnes âgées dont les efforts bénévoles ont contribué au bien-être de leur communauté et de leurs concitoyens. Seuls deux prix sont décernés chaque année dans chaque catégorie.
ALERTE DE TIRAGE POUR LA FÊTE DU CANADA
🥳 Pour célébrer la Fête du Canada nous offrons 2 nuitées gratuites à @thepickleballhouse à Paso Robles,en Californie. Née au Canada ⚜️ Sylvie Beauregard, propriétaire de “The Pickleball House”, a hâte de vous rencontrer ! Le concours débute le 1er juin sur Facebook ou Instagram.
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